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    201 3 minutes de lecture

                A R G U M E N T A I R E   

     

     En 2009, l’Institut de Gestion des Techniques Urbaines, de l’Université Larbi Ben M’hidi, a organisé un séminaire international sur la manière de faire la ville, le but étant de cerner les processus de construction et de reconfiguration du territoire urbain, pour bien comprendre la ville et bien la penser pour demain. Aujourd’hui, l’Institut veut renouer avec cette expérience en envisageant d’organiser un colloque international dont la problématique s’inscrit dans le sillage de l’argumentaire de l’événement en question, celui-ci ayant suscité des débats nourris de discussions prolixes mais guère achevées, parce qu’il reste beaucoup à dire, dans un contexte de profondes mutations, étant donné l’ampleur des dynamiques des recompositions spatiales, sociales et sociétales. Car, par-delà le foisonnement des sujets abordés, et qui n’ont point négligé les préoccupations de l’heure, il n’en demeure pas moins que la référence à l’espace de la vie quotidienne demande encore plus d’attention, celui-ci constituant un primat dans le processus des urbanisations récentes (Belguidoum, 2008). Pour la clarté, et pour l’Algérie, du moins, les exemples sont nombreux, et celui d’El Euma est particulièrement édifiant, pour comprendre que le processus d’urbanisation est articulé par des dynamiques sociales et que c’est l’essor économique de cet ancien bourg semi-rural, devenu aujourd’hui « une plate-forme commerciale hypertrophiée », qui est le stimulateur d’une urbanisation intense en périphérie (Messahel et Souiah, 2015).

    On pourrait multiplier les exemples pour affirmer que les villes algériennes sont des cadres de vie qui se transforment au gré d’un jeu d’acteurs évoluant dans l’ignorance d’une vraie philosophie du projet urbain et dans l’existence « d’un projet parasite, au seul service d’intérêts limités et immédiats », faisant fi de la qualité urbaine et conduisant à des dérives multiples, rendant inextricable le désordre dans la ville. Le constat a toujours été que la culture urbaine est largement entamée et que tout converge vers des urbanités déniant les valeurs citadines. On ajoutera que ce désordre est fortement consolidé par les tares d’un dispositif institutionnel qui n’arrive pas à gommer le hiatus entre normes officielles et pratiques habitantes. Mais ceci n’est pas le propre de l’Algérie seulement. La réplique est ailleurs aussi, avec des aspects aux tonalités différentes ou simplement nuancées. Au Maroc et en Tunisie, on évoque très souvent les pratiques illicites pour contourner l’incohérence des outils légaux de planification, parce que rigides et centralisés et occultant tout ce qui relève des rapports sociaux et des modalités d’appropriation de l’espace de vie. En plus, on admet que c’est un stéréotype qui va également à l’endroit de l’Égypte, pour souligner que les politiques urbaines ont particulièrement attisé les contrastes socio-spatiaux catégoriels et favorisé le développement de l’économie informelle et les activités de la rue. Ce type de constat est grandement répandu en Afrique sub-saharienne, mais avec la vigueur la plus forte, l’espace urbain étant organisé selon un schéma d’aménagement doublé d’un système informel qui le recompose et faisant apparaître « un état d’anarchie » où se superposent affectations spatiales et représentations sociales.
    D’un continent à l’autre, les dynamiques des recompositions socio-spatiales prennent des allures que préside le contexte social et sociétal ou de la mondialisation et son « cortège d’inégalités croissantes »1. Aussi importe-t-il d’aller au tréfonds de leurs modalités pour bien les définir. Quoi qu’il en soit, le procès que l’on fait est surtout celui d’une accentuation des contrastes sociaux dans les territoires urbains, c’est le facteur qui fait consensus, au point que
    des termes extrêmes sont utilisés, tels que « ségrégation » et « ghetto ».
    Un tel argumentaire sera un ancrage à des analyses que les uns et les autres mettront en lumière pour qu’ils puissent, ensemble, converger, dans une approche transdisciplinaire, à une réflexion sur les espaces de vie et leurs dynamiques. Ainsi en mettant en évidence le caractère polysémique des questions traitées, les communications attendues seront suffisamment variées pour être déclinées à travers les axes suivants :

    Axe 1 : Croissance urbaine et dynamique des territoires
    Axe 2 : Inégalités socio-spatiales et politiques urbaines
    Axe 3 : Espaces publics : appropriations, usages,                                   sociabilités, conflits et dysfonctionnements
    Axe 4 : Débidonvillisation et relogement : nouvelles                             territorialités, nouvelles identités
    Axes 5 : Services, commerces, distribution de biens,                               mobilité, centres et centralités
    Axes 6 : Environnement, résilience et territoires urbains

    veuillez télécharger  Appel colloque 2019 

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          Email : adminweb.igtu@univ-oeb.dz

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